Misafir Kullanıcı
3 Ekim 2024
Nous sommes venus en famille l'été dernier au grand hôtel Moriaz à Cavalière dans le Lavandou, géré par la famille Moriaz. L'idée de séjourner dans un hôtel-restaurant "pieds dans l'eau", ayant une belle vue sur la mer et situé en face d’une belle plage réservée à ses clients nous avait séduits. Nous avons passé une semaine très agréable. Depuis, l'hôtel a perdu sa plage suite à des intempéries. Malgré un tel handicap, les prix n'ont pas baissé pour autant, bien au contraire. Nous avons décidé d'y retourner quand même cet été, compte tenu de la beauté du site et du souvenir que nos vacances de l’an passé nous avaient laissé. Nous savions qu’en guise de plage, seuls quelques transats (toujours payants) se trouvaient désormais en nombre très réduit sur la terrasse, collés les uns aux autres. J’avais dû batailler pour pouvoir en avoir pour ma famille avant de confirmer ma réservation. Mais si, pour le même prix, l’hôtel a perdu sa plage, il a également aussi perdu son son hospitalité, son sens du service, et le respect de ses clients. L’un des dirigeants, Monsieur Moriaz, a fait mine de ne pas me reconnaître lorsque je suis allé le saluer en arrivant, en m’indiquant qu’il voyait beaucoup de monde chaque année et qu’il ne se souvenait pas de moi. Quel manque de tact…Pendant tout le séjour, il a été bougon, comme tout le reste de sa famille gérant l’hôtel. Nous n’osions rien lui commander, à part les apéritifs qu’il nous servait le soir avec un ennui perceptible et un sourire forcé. Plus gravement, certains membres du personnel nous ont traités avec un total manque de respect. Deux serveuses, Christelle et Lola, fort désagréables étaient pressées de terminer leur service au plus vite. Lassé, je leur ai annoncé un matin que nous ne déjeunerions pas à l’hôtel le midi ; quelques instants plus tard, je les ai entendu discuter, manifestement ravies d’avoir des clients en moins à servir. Quel manque de correction et de courtoisie… Un soir, j’ai eu une altercation avec l’une de ces deux serveuses, Christelle, car les plats s’enchaînaient trop vite ; nous avions à peine le temps de les avaler, et elle nous les jetait littéralement sur la table. Je lui ai indiqué que nous n’étions pas à la cantine et qu’elle était très désagréable. Elle est allée se plaindre auprès de Monsieur Moriaz qui n’a même pas pris la peine de venir à ma rencontre, ce qu’aurait fait n’importe quel responsable digne de ce nom pour savoir ce qui s’était passé et comprendre la raison pour laquelle son client n’était pas satisfait. Quel manque de considération… Il faut croire que la priorité du restaurant était d’achever au plus vite le service du soir, comme celui du midi. En tout état de cause, le personnel joue parfaitement son rôle : après 21H30, on vous fait sentir que vous devez quitter la salle de restaurant, et le bar est fermé. C’est l’extinction des feux. C’est un peu amer, en plein mois d’août, au Lavandou…Si vous voulez vivre quelques moments festifs en soirée, précipitez-vous a
Çevir